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Les modifications de l’ADN dans la nature peuvent modifier radicalement les écosystèmes de manière inattendue

Malaria-carrying mosquitoes (Anopheles gambiae) are a prime target for gene-editing techniques.

Le 30 juillet, l’Académie nationale des sciences, de l’ingénierie et de la médecine (NAS) a tenu la première d’une série de réunions destinées à trouver des moyens d’équilibrer les promesses et périls technologiques de la «route des gènes».

Ce procédé utilisé en biotechnologie, l’édition du gène qui vise des changements précis dans l’ADN d’un organisme, peut modifier rapidement non pas seulement un seul organisme, mais toute une population, par l’insertion d’une modification génétique dans un organisme avec un ADN qui augmente la vitesse à laquelle le changement est transmis à la génération suivante. La technique pourrait être utilisée pour rendre les moustiques incapables de transporter les parasites du paludisme ou pour faire disparaître les espèces nuisibles, mais elle pourrait aussi avoir des coûts environnementaux imprévus et peut-être impossible à inverser.


Heidi Ledford, writes about biology and medicine, and has a PhD from the University of California, Berkeley. Heidi has written for The Oregonian, edited for the Berkeley Science Review, and freelanced for a few other publications.

lire la suite sur Nature.com

Article format PDF : Caution urged over editing DNA in wildlife (intentionally or not)

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