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Le Grand réveil de Philippe de Villiers : Grand Reset Schwab Transhumanisme

Philippe de Villiers sur Le jour d’après

Philippe de Villiers répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de son nouvel essai intitulé « Le jour d’après. Ce que je ne savais pas et vous non plus« . Pour lui, la Covid est une occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société.

Il lance la charge contre les GAFA, coupables de se saisir du Covid comme d’une fenêtre d’opportunité pour réinitialiser le monde : Davos, le Grand Reset, Klaus Schwab, l’event 201, le transhumanisme, le posthumanisme, Big Data, Big Pharma, Big Finance, 1984 de George Orwell, l’État profond, la cancel culture, tout y passe.

Sur la digitalisation du monde et le changement climatique

« On veut nous imposer une société disciplinaire du contrôle total ». Philippe de Villiers

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Philippe de Villiers était également au micro d’André Bercoff

Le jour d’après nous fait entré dans un monde où au nom du tout sanitaire, on sacrifie la jeunesse ; où au nom du tout numérique, on abolit la société de voisinage, et au nom du transhumanisme, on dénature l’espèce humaine (chimère, transgénique, marchandisation du vivant, PMA, GPA etc.) le déshumanistant en marche.

 

3 Comments »

  1. À l’instar de M. Philippot et d’autres icônes de la fachosphère, M. De Villiers flirte avec les théories conspirationnistes. S’il y a sans doute du vrai dans la dénonciation des pratiques des multinationales, la dialectique, la rhétorique et les allusions n’en demeurent pas moins funestes, révélatrices, laissant peu de doute au public à qui il s’adresse. Il ne parle pas à l’intelligence mais à l’émotion (la peur et la colère). C’est du sensationnalisme à l’état pur.

    Par ailleurs, faut-il rappeler que cet homme appartient à l’extrême-droite catholique, et y voit ici seulement une occasion de surfer sur les peurs pour servir son idéologie réactionnaire, en fustigeant la révolution numérique. On nage en pleine instrumentalisation.

    Quand on est technoprogressiste, on comprend que ce ne sont pas les individus ou les entreprises qu’il faut blâmer, mais l’environnement social, économique et culturel. Nous sommes dans une économie qui est basée sur les profits, et avons été éduqués avec un système de valeurs qui glorifie la compétition, la prédation et l’esclavage. Là où les anti-transhumanistes et les conservateurs de tous poils accusent la technologie de tous les maux en raisonnant à partir de ce système de valeurs, les futuristes proposent de changer de système de valeurs pour s’adapter au progrès technologique. Ce sont effectivement les deux tendances globales qui se dégagent de plus en plus.

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