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Le temps de l’Homme, c’est aujourd’hui

le temps de l'homme - couvertureTugdual Derville publie chez Plon un essai décapant sous-titré « pour une révolution de l’écologie humaine ».

Sur 320 pages structurées en 3 étapes et 9 chapitres, il prend parti pour l’Homme, désormais menacé dans son identité même par les théoriciens de la « déconstruction » et les promoteurs du transhumanisme.

Décrivant l’extraordinaire « révolution silencieuse » de l’écologie humaine qui est en train de transformer la France, il propose à ceux qui la conduisent des clés pour l’amplifier en se reliant, sans perdre le cap de « tout l’homme et tous les hommes », ni se perdre en quête d’un hypothétique leader providentiel.

Diplômé de Sciences-Po Paris et de l’ESSEC, Tugdual Derville est engagé, depuis 30 ans, dans le monde associatif : fondateur d’A bras ouverts, ancien permanent des petits frères des Pauvres, délégué général d’Alliance VITA et co-initiateur du Courant pour une écologie humaine, il a multiplié les initiatives de terrain au service des enfants, des personnes handicapées, âgées et fragiles, entrainant dans ces actions des dizaines de milliers de volontaires. Il assume avec cet essai une posture politique visionnaire, en proposant le « consentement au réel » comme réponse aux fantasmes de toute-puissance. Cette hauteur de vue le situe aux antipodes des calculs politiciens, des clivages artificiels et de la guerre des égos qui déchirent les partis et écœurent de plus en plus les Français.

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Le temps de l’Homme, offre à chacun de mesurer la légitimité d’une « révolte anthropologique », en dépassant la seule indignation, pour agir et s’assumer, chacun dans son domaine, responsable politique, innovateur de l’humanitaire et travailleur social, afin d’établir dès maintenant, selon l’expression de Václav Havel, « La vie dans la vérité ».

Dans une interview accordée à FigaroVox, Tugdual Derville déclare :

«Le transhumanisme nous entraîne dans un scénario totalitaire.

Nous nous trouvons dans un scénario totalitaire, proche du Meilleur des mondes. Livrée à la technique, l’étatisation de la maternité serait liberticide. La visée transhumaniste est d’ailleurs extrêmement élitiste : ce prétendu progrès serait réservé aux sociétés opulentes. Les pauvres resteraient à quai.

Je montre dans Le temps de l’Homme jusqu’où va la logique des déconstructeurs qui n’hésitent pas à plaider pour que sautent les «derniers tabous sexuels» de l’inceste à la zoophilie. Au fond, c’est l’abolition de tous les repères, l’arrachage de toute les racines et la liquéfaction de la société qu’il faudrait acter. La révolte anthropologique est légitime.

Le projet transhumaniste vise à créer un super-homme, un homme supérieur, fusion de chair et de machine. Au cœur de ce fantasme réside le refus de toute idée de transcendance, l’enfermement de la raison dans le rationalisme. C’est un nouvel obscurantisme. (…) Les velléités transhumanistes sont portées par un dogme matérialiste et utilitariste véhiculé par les grandes firmes internationales de l’Internet, qui les financent à hauteur de milliards de dollars. Ces desseins échappent à la régulation des Etats.»

Scientisme, eugénisme, matérialisme, individualisme, féminisme radical, idéologie du genre et transhumanisme : telles sont les idéologies qui coupent l’homme du réel. Tout le contraire de l’écologie humaine promue par Tugdual Derville dans son dernier livre. (Atlantico)

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